mercredi 1 août 2007

Albi

Lautrec

Castres

Passage... non furtif

Un an, une année, où je me suis fatiguée, épuisée.
Jamais la possibilité de se poser, de pleurer sinon je prendrais le risque de tout lacher.

Là, une semaine. Premiers jours avancer à petits pas, tout doucement, avec crainte.

Est ce possible tant de simplicité, de sincérité et de douceur?

Vous revoir, tous en grande partie. Me sentir à ma place avec vous. Cette sensation de bien être , être là simplement, avec vous.

Et Mawine, putain Mawine.

Ce temps que j'ai passé avec toi et ta famille. Je n'ai pas envie de poser de mots deçus mais... toutes les 10 minutes à être au bords des larmes, à avoir envie d'éclater de rire, de ne rien dire, de trier de l'ail pour me poser dans moi-même.

Avoir peur à un certain moment mais soufler car ça va et se rerendre compte avec une phrase de quelque chose "c'est du bonus".

Une petite Maelys qui est déjà bien grande qui donne une autre saveur , un petit bout de soleil.

Un océan dans ma tête, un bout de cette paix dont j'ai besoin pendant ce moment passé avec vous.

Et puis vous autres aussi, N, Nath, Klo, Lucille.

Une crainte au départ mais elle n'avait pas lieu d'être.

Je vous .... les gens.

A bientot

jeudi 31 mai 2007

Fait froid ce soir

Je suis dans tututre

wifi d'un type ds la rue, baterie de l'ordi à bloc

j'ai froid ce soir, il a plu jusqu'à maintenant, je peu pas dormir.

vendredi 2 mars 2007

Allumette, Allumeuse.

Je me sent d'humeur bavarde ce soir.

Personne peut être ne me lira, qu'importe.

Allumette. Une boite d'allumette, dont chaque brindilles de bois corespond à un bout de ma vie.

Mais si l'une se casse et devient plus courte, et finie finalement par salummer, que reste il? La deuxieme partie, où le souffre n'existait plus et qui reste plantée t'elle une echarde.

Je demande une décharge à brindille, pour pouvoir les recouvrir d'essence, les observer une par une, me piquer une dernière fois avant de craquer l'allumette qui mettra fin à tout ça.

Mais de quoi elle parle encore elle? On comprend rien. Il n'y a qu'elle pour comprendre. C'est faux, ceux qui me connaisse comprennent ou comprendront.
Certaines personnes qui lisent ce blog, même s'il y en a peu, et qu'un seul poste, ou presque, me connaissent sur certains aspects de ma vie et ne sont pourtant pas des amis. Mais que sont ils?

Partage de moments très forts, partage de moments morts. Pas une connaissance, pas un pote, ou un "copain" et pas un ami. Juste une personne à laquelle je tiens, malgrès mes non dit, mes non nouvelles. Une personne a qui je peux faire confiance, une personne que je n'ai pas envie de decevoir. Un sentiement peut être non partagé, mais ça m'est égal. Je ne peux pas être là pour lui , autant qu'il ne peux être là pour moi. Mais pour rien au monde je n'echangerais ces moments passés et futur, et j'insiste sur le et. Il fait partie de cette boite d'allumettes. Certaines personnes sont plusieurs allumettes qui s'enchainent les unes les autres et qui s'enflament avec plus ou moins d'intensité. Lui, a plusieurs allumettes, mais elle sont espacées dans la boite et sont souvent prises au hazard. Chacunes brulent d'une façon différentes et souvent très vite, mais il reste toujours une allumette planquée par là.

Bref. Je suis une allumette,composée de milliers de petites allumettes, planquées dans une boite et je me consumme petit à petit, en me prenant parfois trop de jets d'essence sur la gueulle. Mais il existe des petites brindilles avec des bouts de souffre , qui elles ne se consumeront jamais tant que je ne me serait pas completement éteinte.

every times just like

Pronax, subutex, codeïne, ixprim....

cachetons cachetonsss

Pas de nouvelles, bonnes nouvelles?

Pas si sur pas si vrai pas si dur .

Petite histoire.

Histoire de Lola. Pas d'age, pas de visage.
Un ex, un pote qui ne veut pas partir, qui ne veut pas souffrir.
Lola essais de partir en douceur, pour ne pas qu'il ai trop peur.
Un soir, une nuit, pas envie de rentrer chez lui. Il dort encore, près d'elle, pour ne pas la perdre.
Rêves arrêtes , stopés. Lola, mains autour du cou se fait baiser. L'arrêtter, ne pas y arriver. Lola a peur dans cette ancienne chaleur. Corps lourd, muet,soufle pret du coeur qui manque de s'arrêtter.
Réveil difficile, jambes engourdies, coeur meurtri, il est toujours là dans ce lit.
Opales blanches transformées en poudre de cristal. Gobé le petit bijoux, le petit caprice qui rend fou. Subutex, pronax, codé, c. Tout pour ne pas penser.
Vertiges, nausées. Tourner, tourner, tourner, sur sois même mais surtout surtout ne pas tomber.
Lui ne se souvient de rien, il ne sait pas ce qu'il a fait. Mais il l'a fait. Ce dont elle avait le plus peur, la violer. mais il ne s'en souvient pas, il n'est donc pas si malhonete que ça.
Lola se perd. Empilement de boites de toutes couleurs. Roses, bleu, blanc, quel est celui qui l'aime tant?
Un jour, un matin, une boite rose avec un bout de plastique morose. Deux battons violet se baladent sur l'écran. Une fois, une nuit, pour qu'un enfant se mette à dormir avec elle dans ce lit.
En parler. Un bar, biere , clope, cendar. Un visage, qui l'écoute, qui ne seme pas de doutes. Revenir tout doucement, s'accrocher à ce bras, ne pas le tordre, ne pas le blesser. Avorter. Trois semaines. impossible.
Lola ne dort pas, Lola ne mange pas. trois jours, sous codéïne pour prendre le médoc fatidique. Contraction, seule, dans ce putain de lit. Le soir vient, le visage aperçus, le bras qu'elle relache lentement la ratrape et sort sa tête de ce sang.
Lui, l'homme qui la meurtris n'ai pas là, se contente de faire un sourire gentillet et le regard mielleux. Il a mal, mal par ce qu'il ne l'aura plus et non par ce qu'il la tue.
Lola s'en va. Monter les marches, conduire dans la nuit. Chanter et mordre la vie.
Remarquer le rayon de soleil qui passe à travers la fenêtre, le gout du chocolat sur le palais quand il est brulant, le gout du sang.
Oublier celui de subu, de pronax, de codé et de la c. en chier, à se tordre de douleur, par ce que le corps a peur.

Mais passer à autre chose, continuer, même après cette promesse qui un jour s'est tue. Mais maintenant comment croire à un je t'aime, sans y voir quond va peut être lui faire la haine?

mercredi 24 janvier 2007

Pronax

Je vais y arriver.

Du mal avec un projet.

Pas d'idées.

Pas de temps pour moi.

Pense à vous.

mercredi 17 janvier 2007

Cour d'info. créer un site web

Les gens tout autour s'éfacent
Plus aucun sons n'existe
tout est là
tout est mort
Tout est encore à refaire

mardi 2 janvier 2007

Le départ

Je repart. Ca y est. Je repart et je vous ai à peine entrevue ou pas...

Je pensais pouvoir rester jusqu'à jeudi matin...
Le projet commun que nous avons à rendre pour lundi a beaucoup trop attendu. Si je ne suis pas à Aix demain après-midi 14h, je plante 3 personnes.

De ce fait je vous plante vous tous pour une soirée que j'avais vraiment envie de passer avec vous. Encore raté.

Je tenais à m'excuser pour dimanche soir, Laure, la personne qui m'a accompagné était disons... particulierement boulette ce soir là. "amoureuse" de Niamor elle voulait le rejoindre, et pour ce me disait qu'elle s'ennuyait, qu'elle passait une soirée affreuse, etc avec vous. Mal à l'aise, la mis voulait partir avant minuit, alors qu'il était... 23h50!!!! Merci Elza pour avoir insisté devant Laure que c'était ton anniversaire, j'ai été heureuse de passé le "cap" de la nouvelle année avec vous (mouhahahaha ^^')

Donc vlà, je repart blazé et déconfite... Mais j'ai en projet de venir squatter une semaine très bientôt. Je m'explique, dans 1 mois comme vous savez il y a une semaine de vacance spour vous, et bien moi, j'en ai deux! En décallé avec vous, certes, mais des vacances. Donc... si quelqu'un a la gentiellesse de m'héberger.... Vous serez tous ou presque sur Albi ou Toulouse, et en une semaine je pourrais enfin vous voir un petit peu. Est ce que c'est possible ou aurez-vous trop de boulot dans cette periode?

Vlà.... je vais me coucher, 5h de voitures m'attendent demain.

Je tiens à vous, même si je ne le montre pas.

Tchou